patricknicaud

Nouvelles Technologies Canada

Lundi 25 juin 2012 à 10:10

   
 
 
 
 

High-tech : à quoi peut-on s’attendre en 2012 ?

Les tablettes tactiles sont promises à un bel avenir en 2012. Ici, le Samsung Galaxy Tab 10.1 et l'iPad.
Les tablettes tactiles sont promises à un bel avenir en 2012. Ici, le Samsung Galaxy Tab 10.1 et l'iPad.
EUTERS/Jo Yong-Hak

Par François-Damien Bourgery

Les nouvelles technologies sont un monde en perpétuelle révolution. L'année 2012 ne dérogera pas à la règle avec le renforcement des produits qui ont marqué 2011, comme les « ultrabooks » ou les tablettes tactiles. Mais 2012 devrait aussi être l'année d'innovations marquantes comme la télévision d'Apple, les écrans flexibles ou le paiement par téléphone mobile. 

 

Apple lance de nouveaux produits

Le décès de Steve Jobs en octobre 2011 n’a pas freiné les ambitions du groupe. Au contraire même, puisque trois nouveaux produits pourrait voir le jour en 2012. D’abord, l’iPhone 5. Attendu à l’automne 2011, le dernier né des téléphones de la marque à la pomme faisait l’objet des plus folles rumeurs. C’est finalement un iPhone 4S, une version légèrement améliorée de l’iPhone 4, qui est sorti, provoquant la déception des fans d'Apple. Cette année pourrait être la bonne. BGR croit savoir que l’iPhone 5 sera équipé d’une nouvelle coque en caoutchouc et en aluminium, avec un écran de quatre pouces, un peu plus grand que l’actuel. Son lancement pourrait être effectué à l’automne 2012.
 
Ensuite, l’iPad 3. Fin décembre, Digitimes a annoncé que la troisième génération de la tablette tactile d’Apple serait présentée le 26 janvier prochain lors du salon Macworld et déclinée en deux versions. La première, d’entrée de gamme, serait équipée d’un appareil photo de 5 millions de pixels ; la seconde, plus haut de gamme, d’un capteur de 8 millions de pixels et d’une batterie longue durée.  « Faux », répond le site igeneration qui prédit une sortie en mars-avril, soit à la même période que ses prédécesseurs, et infirme le lancement de deux modèles différents.
 
Mais la véritable innovation Apple de l’année 2012 serait une télévision. Dotée d’un écran fabriqué par Sharp, connectée à internet et à commande vocale, l’iTV pourrait voir le jour au deuxième semestre 2012.
 
Les tablettes tactiles se généralisent

2012 pourrait bien être l’année des tablettes tactiles et surtout la fin de l’hégémonie de celle construite par Apple. D’après les chiffres de PC World, les constructeurs concurrents de l’iPad ont vendu au total un million de tablettes en 2011, tandis que la firme à la pomme en a écoulé 11 millions lors du dernier trimestre. Mais ce quasi-monopole risque de ne pas durer.
 
Mise sur le marché le 14 novembre 2011, la tablette Kindle Fire d’Amazon a été vendue à un million d’exemplaires en seulement une semaine après sa sortie. Les produits d’Asus, Samsung et Motorola sont également désormais bien équipés pour faire de l’ombre à l’iPad. Le Finlandais Nokia devrait aussi se doter en 2012 de sa propre tablette fonctionnant sous Windows 8, le nouveau système d’exploitation de Microsoft dont la version d’essai est attendue pour février. Le mois de juin a été évoqué.
 
C’est surtout du côté de Google que le principal danger pour Apple pourrait venir. Dans un entretien accordé au quotidien italien Corriere della sera en décembre 2011, le président exécutif de Google Eric Schmidt a annoncé le lancement d’un produit de haute qualité pour concurrencer l’iPad. Déjà qualifié d’ « iPad killer » (tueur d’iPad), ce nouvel engin pourrait être commercialisé dans les six prochains mois.
 
Facebook entre en bourse

« Ce sera le plus gros événement financier de l’année dans le monde de la high-tech », prévient Josh Bernoff, analyste chez Forrester Research, cité par le quotidien Le Progrès. Facebook est devenu le fantasme des traders. Le bébé de Mark Zuckerberg continue son ascension fulgurante, et ce malgré l’apparition de Google+ fin juin 2011. Doté d’un nouveau design et fort de près d’un milliard d’utilisateurs, le réseau social devrait faire son entrée en bourse en 2012. Annoncée au départ pour le printemps, elle pourrait finalement être retardée à la fin de l’année. Le site espère lever 10 milliards de dollars pour une évaluation estimée à plus de 100 milliards.
 
Les constructeurs misent sur les « ultrabooks »

Ce sont des PC portables plus légers, fins de quelques millimètres, plus puissants, mais également plus chers (autour de 1 000 euros), sur le modèle du Macbook Air d’Apple. Après Acer en octobre 2011 puis HP en novembre, les constructeurs d’ordinateurs se lancent les uns après les autres dans le commerce des ultrabooks. Le géant des processeurs Intel se place aussi dans la course à l’innovation et prévoit de sortir une série de machines. Plus de 50 ultrabooks doivent être présentés lors de l’International Consumer Electronics Show (du 10 au 13 janvier), le plus grand salon professionnel consacré au high-tech du monde.
 
Les smartphones s’équipent d’écran souple

En 2011, Nokia et Samsung ont annoncé étudier la création de smartphones à écran souple. Si le constructeur coréen en est encore au stade de l’imaginaire, Nokia a déjà révélé un prototype. Malléable, il est donc propice à l’ajout de fonctions spécifiques, mais aussi plus solide. Cependant, l’appareil présenté par Nokia ne peut pas encore être qualifié de smartphone puisqu’il n’est pas doté de micro et de haut-parleur, et encore moins d’appareil photo et de capteur GPS. Mais le Finlandais semble être sur la bonne voie.

Le paiement sur mobile devient réalité

L’idée de payer ses achats depuis un téléphone portable tarde à se concrétiser. Mais cela ne devrait pas durer. Le Monde informatique affirme que « les partenariats conclus avec les opérateurs et les tests de paiement mobile vont commencer à porter leurs fruits ». Le paiement sur mobile va décoller grâce à Apple qui pourrait intégrer une puce permettant ce type d’opérations sur son prochain iPhone. 

Samedi 21 avril 2012 à 16:26

 

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Communiqués de presse - Essor des nouvelles technologies au Canada

Par  PATRICK  NICAUD

Le gouvernement du Canada hisse D-Pace au rang de chef de file canadien de l'innovation

 

Le 17 septembre 2009 — Ottawa, Ontario

Au nom de l'honorable Gary Goodyear, ministre d'État (Sciences et Technologie), le député d'Okanagan-Shuswap Colin Mayes a reconnu aujourd'hui Dehnel - Particle Accelerator Components and Engineering Inc. (D-Pace) en tant que chef de file canadien de l'innovation pour avoir effectué des recherches puis mis au point, distribué et commercialisé des produits et des services à l'intention de l'industrie internationale des accélérateurs de particules, et avoir ainsi réussi à faire le pont entre la recherche scientifique et la commercialisation, la création d'emplois ainsi que la croissance de l'économie.

« Notre gouvernement investit davantage dans les sciences et la technologie parce que ces investissements créent des emplois, stimulent l'économie et rehaussent la qualité de vie des Canadiens, a déclaré M. Mayes. Le Plan d'action économique du Canada prévoit des investissements de plus de 5,1 milliards de dollars dans des initiatives liées aux sciences et à la technologie, soit les plus importants investissements fédéraux en sciences et en technologie à ce jour, ce qui contribuera à l'avènement d'une économie plus forte et plus novatrice, et d'un Canada plus prospère. »

Un chef de file canadien de l'innovation est une petite ou moyenne entreprise (PME) à qui on peut attribuer des progrès précis en recherche-développement dans son secteur d'activité. Le Conseil national de recherches du Canada (CNRC) a créé le Programme des certificats de chef de file canadien de l'innovation afin de rendre hommage aux entreprises canadiennes qui mettent au point et appliquent avec succès des technologies novatrices.

D-Pace met au point des systèmes de transport des particules à haute énergie et des composants ultra performants pour les cyclotrons, les implanteurs ioniques et les accélérateurs linéaires employés dans l'industrie.

« Investir dans les sciences et la technologie est essentiel au développement de personnel hautement qualifié et à l'amélioration de la compétitivité à long terme des entreprises canadiennes, a affirmé le président du CNRC, Pierre Coulombe. Voilà pourquoi le PARI-CNRC aide des entreprises canadiennes novatrices comme D-Pace à connaître une croissance plus forte et plus rapide. »

D-Pace et TRIUMF - le principal centre d'expertise canadien dans le domaine de la physique des particules et de la physique nucléaire - ont récemment remporté un prix Synergie du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG). Une grande partie de ce travail en collaboration a été réalisé grâce aux contributions du PARI-CNRC.

« Le PARI-CNRC est essentiel à notre réussite, a déclaré Morgan Dehnel, président de D-Pace. L'aide financière du PARI-CNRC et des partenariats stratégiques nous ont permis de concevoir, de mettre au point puis de lancer des produits et des services novateurs très pointus pour l'industrie des accélérateurs de particules, partout dans le monde. »

À propos du CNRC et du PARI-CNRC

Le Programme d'aide à la recherche industrielle du CNRC (PARI-CNRC) offre un large éventail de services consultatifs de nature technique et commerciale, ainsi qu'une aide financière aux petites et moyennes entreprises canadiennes novatrices admissibles.

Le Programme est offert sur le terrain par une équipe de 240 experts en technologie et en commercialisation répartis dans plus d'une centaine de collectivités un peu partout au Canada. Le PARI-CNRC s'est engagé à aider les petites et moyennes entreprises du Canada à réaliser leur plein potentiel en transformant savoir et innovations en débouchés stratégiques, en emplois et en richesse pour les Canadiens.

Le Plan d'action économique du gouvernement du Canada prévoit l'attribution de nouveaux fonds de 200 millions de dollars au cours des deux prochaines années pour accroître l'aide offerte par le PARI-CNRC aux entreprises canadiennes novatrices.

Fiche d'information

Programme d'aide à la recherche industrielle du Conseil national de recherches du Canada (PARI-CNRC)

Le Programme d'aide à la recherche industrielle (PARI-CNRC) est le principal outil dont dispose le CNRC pour accroître son rayonnement au sein des petites et moyennes entreprises (PME). Ce programme appuie en effet les entreprises novatrices du Canada qui lancent des projets de recherche et de développement de technologies à des fins commerciales.

Le PARI-CNRC offre un large éventail de services consultatifs de nature technique et commerciale, ainsi qu'une aide financière aux PME canadiennes novatrices admissibles. Le Programme est offert sur le terrain par une équipe de 240 experts en technologie et en commercialisation répartis dans plus d'une centaine de collectivités un peu partout au Canada. En collaborant directement avec les PME, le PARI-CNRC appuie les activités novatrices de recherche-développement (R-D) de ces entreprises et les aide à commercialiser leurs nouveaux produits et services.

Le Programme compte trois volets distincts de financement - les contributions aux entreprises, les contributions aux organismes et le Programme emploi jeunesse -, mais la plus grande partie de l'aide correspond à des contributions non remboursables versées aux entreprises au titre des frais de main-d'œuvre directement liés à leurs projets de R-D.

La science à l'œuvre pour le Canada

Dans le cadre du budget de 2009, Le Plan d'action économique du Canada, le PARI-CNRC a reçu un investissement de 200 millions de dollars sur deux ans. Il s'agit d'argent frais. Le PARI-CNRC s'engage à utiliser ces nouveaux fonds pour aider le gouvernement à créer un avantage concurrentiel pour le Canada, fondé sur l'excellence en sciences et en technologie (S-T).

De cette somme, 170 millions de dollars serviront à doubler les contributions du PARI-CNRC aux entreprises et 30 millions serviront à aider les entreprises à embaucher plus de 1 000 nouveaux diplômés postsecondaires dans le cadre du Programme emploi jeunesse.

Cet engagement budgétaire renforce le mandat du PARI-CNRC, qui consiste à aider les PME à commercialiser leurs découvertes scientifiques. Il accroît également la capacité du PARI-CNRC de mettre son savoir-faire scientifique et technologique au service des PME. Le PARI-CNRC estime que ces nouveaux fonds lui permettront d'offrir des contributions plus importantes pour chaque projet et d'aider environ 1 400 PME de plus au cours des deux prochaines années.

Certificat de chef de file canadien de l'innovation

Un « chef de file canadien de l'innovation » est une petite ou moyenne entreprise (PME) à qui on peut attribuer, dans son secteur d'activité, des progrès précis en recherche-développement. Ces progrès ont contribué à rendre le pays plus prospère, que ce soit à la suite de l'essor des entreprises, de la création d'emplois ou d'investissements dans des travaux de recherche-développement qui ont amélioré la qualité de vie des Canadiens. Le CNRC a créé le Programme des certificats de chef de file canadien de l'innovation afin de rendre hommage aux entreprises canadiennes qui développent et appliquent avec succès des technologies novatrices, faisant ainsi le pont entre la recherche scientifique et la commercialisation, la création d'emplois ainsi que la croissance de l'économie.

Dehnel - Particle Accelerator Components and Engineering Inc. (D-Pace)

Dehnel - Particle Accelerator Components and Engineering, Inc. (D-Pace) est une entreprise novatrice située à Nelson, en Colombie-Britannique, qui effectue des recherches puis met au point, distribue et commercialise des produits et des services destinés à l'industrie internationale des accélérateurs de particules.

D-Pace crée des systèmes de transport des particules à haute énergie et des composants ultra performants pour les cyclotrons, les implanteurs ioniques et les accélérateurs linéaires employés dans l'industrie.

D-Pace et TRIUMF - le principal centre d'expertise canadien dans le domaine de la physique des particules et de la physique nucléaire - ont récemment remporté un prix Synergie du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG). Une grande partie de ce travail en collaboration a été réalisé grâce aux contributions du PARI-CNRC.

Depuis 1995, D-Pace a bénéficié de l'expertise technique et commerciale du PARI-CNRC, qui lui a également octroyé des contributions totalisant 43 923 $.

Patrick  Nicaud

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